Dans le cadre d’un mandat en crédits d’impôt RS&DE, de nombreuses entreprises ont bénéficié de notre connaissance, destinée à soutenir leur développement ou l’amélioration de leurs produits et procédés ainsi que la recherche fondamentale ou appliquée.
L’équipe expérimentée et compétente de PREMTEC possède une expertise scientifique unique qui lui permet de mieux évaluer les projets admissibles et les dépenses engendrées par vos activités. Nous vous proposons ci-dessous un aperçu des résultats que nous sommes en mesure d’obtenir pour nos clients, que nous ne pouvons identifier ici afin de préserver la confidentialité de leurs activités et de leurs données.
Une grande entreprise canadienne comptant plus de 30 usines de transformation de minerai recouvre les crédits d’impôt auxquels elle avait droit depuis 15 ans.
Gérés à l’interne par économie, beaucoup de crédits d’impôt n’étaient tout simplement pas réclamés, faute de savoir que certains projets y donnaient droit. PREMTEC a relevé ce manquement, ce qui permet maintenant à l’organisation de récupérer maintenant plusieurs millions de dollars de crédits d’impôt supplémentaires. Rien de moins que des profits nets.
Une entreprise de taille moyenne du secteur de l’électronique et de l’aérospatial recouvre les millions de dollars de crédits d’impôt non réclamés des 20 dernières années.
L’entreprise gérait ses réclamations de crédits d’impôt à l’aide d’un système développé à l’interne. Un système déficient, puisque des activités admissibles liées à des dépenses de personnel étaient omises. Résultat : un manque à gagner d’environ 250 000 $ par année. Ce qui n’a pas échappé à PREMTEC. Les sommes sont réclamées chaque année depuis.
Une petite entreprise du secteur de l’informatique perd son financement et doit fermer ses portes. Malgré le contexte, elle récupère 500 000 $ en crédits d’impôt.
Dans le contexte d’un « crash » informatique, cette entreprise, qui employait plus de 50 ingénieurs en TI, a dû fermer ses portes. La fermeture de l’entreprise et les vérifications technique et financière détaillées par les instances gouvernementales n’ont pas empêché PREMTEC de lui obtenir 500 000 $ en crédits d’impôt, soit 100 % des crédits réclamés. Voilà la preuve que l’expérience est plus efficace que l’intuition : jamais les dirigeants n’auraient pensé cela possible.
Une multinationale du secteur de la transformation du bois avait échoué dans sa tentative d’obtenir des crédits d’impôt. Depuis que nous intervenons, elle réussit année après année.
L’entreprise avait travaillé pendant six mois à la préparation de sa réclamation de crédits d’impôt sans l’assistance de préparateurs. Sa demande ayant été refusée, elle s’était découragée à l’idée d’investir chaque année temps et argent dans une démarche risquant fort d’être infructueuse. L’arrivée de PREMTEC a tout changé : en moins d’une semaine, notre méthode de travail éprouvée a permis d’analyser la situation des six usines et de déterminer les informations stratégiques requises pour réclamer les crédits d’impôt. Depuis, notre coopération permet à l’entreprise d’obtenir 100 % des sommes réclamées, année après année.
Une multinationale multisecteurs (aérospatiale, hydroélectricité, informatique, etc.) obtient 30 % de plus en crédits d’impôt en changeant de consultants pour PREMTEC
Maximiser, c’est investiguer partout et avec précision. Les consultants en préparation de réclamations de crédits d’impôt en RS&DE de cette multinationale omettaient des dépenses admissibles. Le savoir-faire et la précision de PREMTEC lui ont permis d’obtenir 30 % de plus de crédits à la suite du dépôt d’une demande de révision. Évidemment, la demande a été acceptée.
Une entreprise en télécommunication demande et reçoit plus rapidement ses crédits d’impôt, tout en évitant de se retrouver en situation inconfortable.
Depuis l’assistance de PREMTEC, cette entreprise reçoit plus rapidement ses crédits d’impôt. Avant notre implication, ses réclamations étaient toujours transmises par voie de déclarations fiscales amendées par son préparateur, ce qui retardait la réception des sommes dues dans ce cas. Sa trésorerie s’en trouvait bien sûr affectée, mais plus encore, ces retards récurrents l’exposaient à des vérifications tant financières que techniques par les instances gouvernementales. Une situation toujours inconfortable, dont aucune entreprise n’a besoin.